jeudi 27 août 2015

Hiatus indéfini

Ce blog entre dans une période de hiatus indéfini, car l'envie d'écrire et de partager -entre autre- me manque cruellement ces derniers temps.
En attendant un éventuel retour, je vous laisse avec une citation, qui me parle beaucoup :

"Je rentrai dans la maison, fermai les rideaux des fenêtres, mais l'odeur du printemps avait déjà rempli la pièce. Elle envahissait tout. Maintenant, elle n'évoquait plus pour moi que l'odeur de la pourriture. A l'intérieur de la pièce aux rideaux tirés, je me mis à haïr violemment le printemps. Je haïssais ce que cette saison m'avait apporté et la douleur lancinante blottie au fond de moi. Ce fut la première fois de ma vie que je détestai quelque chose avec autant de violence." 

- La Ballade de l'Impossible, Haruki Murakami

dimanche 23 août 2015

Cinéma : Mission : Impossible - Rogue Nation

Ah oui, ça y est, c'est un retour à des articles dans la norme du blog !!

Vendredi soir, je suis allée voir Mission : Impossible - Rogue Nation au cinéma. 5ème opus de la licence avec Tom Cruise, est-ce le film de trop... ?


Alors qu'Ethan Hunt traque un groupuscule se faisant connaître sous le nom du Syndicat, l'équipe Mission : Impossible est officiellement démantelée. Ethan, à présent récusé, doit enquêter dans l'ombre. Soutenu par son équipe et par l'agent britannique Ilsa Faust, dont les liens avec le syndicat sont ambigus, Ethan fera tout afin d'éliminer le Syndicat.

Voilà, grosso modo, l'intrigue la nouvelle mission présentée dans ce film.
Je ne m'attendais pas à quelque chose de bien transcendant mais je dois avouer que le film est finalement mieux que ce à quoi je m'attendais. Attention, je ne m'attendais pas un navet non plus ; mais je me disais que ce 5ème volet se contenterait de remplir son quota de film d'actions en termes de cascades, courses poursuites, et qu'il s'en tiendrait là.
S'il remplit effectivement ces quotas, ce Mission : Impossible possède également d'autres qualités tels que l'humour (même si certains pourront le regretter car cela brise parfois des scènes qui auraient pu monter en tension) et puis, il faut quand même le dire, un bon casting, autant les récurrents que les nouveaux ! (Simon Pegg \o/ )

Si le film reste un bon gros blockbuster avec ses facilités scénaristiques et ses scènes grosses comme des camions (d'un côté, c'est Mission : Impossible alors c'est un peu normal :þ), c'est un bon film et on passe un agréable moment en le visionnant :-D

samedi 22 août 2015

Souvenirs de Madère

Me voici de retour de Madère depuis bientôt une semaine.
Les vacances étaient bien trop courtes...

Si je rédige cet article, ce n'est non pas pour vous conter mon voyage - car je n'ai pas réellement le désir de décrire celui-ci en détail sur la toile - mais pour partager quelques photos de l'île aux fleurs (en particulier de sa capitale, Funchal), en sus des photos et vidéos postées sur mon compte instagram.





















Pour terminer cet album photo, voici l'une de mes photos préférées, que j'avais publié sur insta :
Une photo publiée par Eru (@eruerusa) le

et celle apparemment la plus appréciée !!!

Une photo publiée par Eru (@eruerusa) le

mardi 4 août 2015

J-4 avant les vacances !!!

Bonjour à toi, féru(e) (?) lecteur(trice) !

Pour une fois, point de critique ciné, musique ou review live, mais juste un petit post avant le départ en vacances.

Si toi aussi, tu rêves d'évasion mais que tu n'es pas en vacances (ou si tu es en vacances, mais que ça ne t'empêche pas de regarder ce que font les autres durant les leurs :þ), tu pourras suivre si tu le souhaites mes pérégrinations sur l'île aux fleurs non pas sur ce blog, mais sur Instagram (parce que j'ai finalement bien pris goût à cette application, et qu'un voyage raconté en petites tranches de vie photographiées, je trouve ça plus sympa).

alors, peut-être à bientôt sur mon compte Insta (eruerusa) ou sur ce blog :-D

Bonnes vacances (un peu en avance) ! \o/

dimanche 26 juillet 2015

Critiques Cinéma : du retard à rattraper avec les Minions et Pixels

Je l'avoue, je suis une mauvaise élève, j'ai délaissé ce blog 3 semaines durant... Je dois dire que l'envie d'écrire me manquait, et le contenu ne volant déjà pas bien haut en temps habituel, je n'allais pas me risquer à infliger à mes quelques lecteurs mon manque d'inspiration ! :þ

Cependant, je dois également admettre que je suis allée peu de fois au cinéma, 2 fois pour être exacte.
J'ai même hésité à écrire à article sur les deux films vus, c'est dire. Cet article sera donc assez succinct, mais j'aurai au moins la satisfaction d'avoir accompli mon devoir (ahah !)


Les Minions sont des créatures qui ne vivent que pour servir le maître le plus méchant et le plus moche au monde. Après moult tentatives (et avant Gru), les petites créatures jaunes finissent par créer leur propre civilisation, mais celle-ci périclite avec le temps, car leur raison de vivre est inexistante. C'est alors que Kevin, flanqué de Bob et Stuart, décide de parcourir le monde à la recherche du vilain ultime afin de sauver ses semblables d'une fin certaine. Ce vilain en puissance se révèlera être la charmante mais non moins redoutable Scarlet Overkill...

Premier film de grande qualité : les Minions ! Ça a l'air totalement sarcastique dit comme ça, mais en fait le film est réellement très drôle. J'imagine qu'il est néanmoins primordial d'apprécier les Minions et leur humour complètement crétin pour apprécier le film à sa juste valeur car, il faut l'avouer, le scénario est inexistant. Enfin inexistant, j'ai quand même résumé la chose en 6/7 lignes ci-dessus :þ
Dans tous les cas, du moment qu'on apprécie les Minions, leur langage incompréhensible, bref que l'on débranche son cerveau, le film est très divertissant et remplit parfaitement son contrat. Un très bon moment au cinéma :-D


Le second film ne me convainc pas autant, en revanche.


(Résumé piqué sur Allociné pour celui-là parce que j'ai la flemme !) :
À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques... 

Bon, vous visualisez déjà la teneur du scénario... 
En fait, je dois dire que je suis assez partagé. Le film est tellement WTF, que je ne saurai dire si j'ai ri parce que c'était réellement drôle, ou si c'était aussi quelque part par affliction devant tant d'humour graveleux émanant de cette comédie so american.
Il y a pourtant quelques bonnes trouvailles sous cette avalanche de lourdeur et de gras, des petites pointes d'humour d'un niveau un peu plus élevé et un peu plus agréables, mais pour le reste, ça reste très au ras des pâquerettes. Parmi les autres points positifs à mon sens, le visuel des envahisseurs, j'aime beaucoup le rendu des pixels, qui ressort bien à l'écran avec leurs couleurs chatoyantes. 
Si on n'en attend pas plus, et que l'on s'attend à un gros délire incompréhensible (vraiment WTF par moment, je le redis !), on passe tout de même un bon moment.Le film n'est pas une catastrophe non plus, on a vu pire, comme on verra forcément bien mieux.
Je me dis tout de même que sans abonnement, j'aurais regretté le prix de la place de cinéma car c'est un film qui peut largement se contenter d'être vu à la télévision un dimanche (ou un soir d'hiver et/ou de pluie !)
.


Sur cette note un peu (un tout petit peu) péjorative, je vous quitte de nouveau pour quelques semaines, car les vacances approchent à grands pas ! Vivement le soleil, les excursions et la plage (et autres bonnes choses) !

A très bientôt chers lecteurs !

vendredi 3 juillet 2015

Live report : Lenny Kravitz à l'Olympia

On enchaîne les articles !
Après une période creuse, il fallait bien ça :-D

Mardi dernier, je me suis rendue au concert de Lenny Kravitz à l'Olympia ! 


L'homme n'avait pas joué dans cette salle depuis 17 ans, mais en plus c'est LA salle où il a fait son premier concert en France (cestluiquiladitcestpasmoi!). Autant dire, il s'agit là d'un lieu assez significatif !


Mais avant d'en parler plus longuement, parlons de la première partie du show, assurée par Faada Freddy !
 

Faada Freddy, c'est un mélange de folk, soul, rhythm and blues et de gospel, le tout en acoustique. Muni de sa guitare sèche, il nous a présenté dans un esprit très communicatif quelques morceaux de son album, Gospel Journey.
Des chansons très sympas, interprétées avec passion, et avec donc le côté acoustique qui est toujours assez impressionnant en concert. Mais l'artiste sait également s'y prendre pour chauffer la salle, sollicitant le public à participer aux chansons de sa compositions, aux reprises de I need a Dollar et No Woman no Cry, et aussi avec un petite interlude improvisée sollicitant l'arrivée de Lenny Kravitz !
Ayant apprécié sa prestation, je vais garder un œil (et surtout, une oreille) attentif à Faada Freddy (et hop, le petit ajout sur la playlist du moment au passage !)

après un petit entracte de 20 45 minutes, durant lequel on a pu voir le Johnny national s'installer dans le carré VIP, le show commence enfin, à 21h30 !
Je ne me souviens pas exactement de la set-list, tout du moins de l'ordre exact des chansons, mais ça peu de choses près, nous avons eu droit aux morceaux suivants :

1. Frankenstein
2. Dirty White Boots
3. American Woman
4. It ain't over 'til it's over
5. Dancin' 'til dawn
6. Sister
7. Always on the Run
8. Mr Cab Driver
9. I belong to you
10. Let love rule
11. Are you gonna go my way

Rappel :
12. Fly away
 

Le groupe s'installe, et Lenny arrive, en jeans, t-shirt, petite veste et lunettes de soleil. Il abandonnera d'ailleurs rapidement les deux derniers éléments au vu de la chaleur ambiante. Et le concert commence sur les chapeaux de roue avec Frankenstein ! Seule chanson de Strut jouée avec Dirty White Boots, j'ai vraiment apprécié d'entendre en live ce morceau qui est l'un de mes préférés sur le dernier album (avec Sex) ! Le public accueille alors Lenny avec des affichettes "Welcome Lenny", idée mise en œuvre par les membres très sympathiques de Lenny Kravitz Online, qui ont distribué le précieux document (oui précieux, car c'est à présent un souvenir ! :3) durant l'après-midi dans la queue. Le chanteur est d'ailleurs visiblement touché par ce geste ! *séquence émotion on*
L'ambiance s'instille ainsi tranquillement lors des trois premières chansons, le public se chauffe encore un peu plus et, après American woman, Lenny salue Johnny Hallyday et annonce la couleur : "Now we can start !" ; bah oui, les trois premières chansons n'étaient que l'échauffement bien sûr ! :þ
Et c'est donc parti pour de bon ! Dans le public, nous chantons, dansons, sautons... et apprécions aussi les moments, enfin LE moment un peu plus calme avec Sister, dans une version un peu similaire à celle de Bercy, rallongée et avec un solo de guitare à tomber.
Always on the Run était totalement déjantée et pêchue, Lenny laissant la part belle à ses musiciens qui enchaîneront des solos enflammés ! D'ailleurs je leur tire mon chapeau, parce que jouer des solos tels que ceux qu'ils ont joué, avec cette chaleur, ça doit demander une sacrée énergie et une bonne endurance ! En parlant de température, Lenny nous gratifiera lui-même d'un "yeah, it's fucking hot !", c'est dire... ! 
L'ambiance atteint son paroxysme avec les dernières chansons (forcément), en particulier Let Love Rule durant laquelle notre beau brun ira se joindre au public puis rejoindra le Johnny national au balcon, dans le carré VIP, pour lui porter hommage tandis que le public scandera "Leeeeeettttt... Looooooovveeeee.... RuuuuuUUuuuullle ! We've got to let love rule !!!" en boucle. Malgré ces efforts, ce public en transe puisera encore de l'énergie (c'est l'adrénaline, ça aide ! ;-) ) pour danser et sauter au son d'Are you gonna go my way puis pour le rappel, qui aura lieu après une (très) courte pause de 5 minutes (à peine, comme à Bercy) sur Fly Away. 
Enfin, Lenny Kravitz et le groupe salue le public, et après des remerciements et lancers de médiators et baguettes, nous quittent. Tomber de rideau, c'est déjà la fin de ce live endiablé de 12 chansons "seulement", mais qui aura duré 2 heures intenses.
Le public, encore grisé par l'expérience vécue, aura du mal à quitter l'Olympia : dans la fosse, ça traîne, ça discute, et l'on ressort tout doucement, prenant le temps de savourer encore pendant quelques instants les relents auditifs en se dirigeant vers la boutique avant de quitter enfin cette scène mythique qu'est l'Olympia.

Pour conclure, l'Olympia, qui dégage un côté plus intimiste que les très grandes salles, et la proximité de Lenny Kravitz avec son public, rendent ce concert un (gros) cran au-dessus de celui de Bercy, qui était pourtant déjà excellent. 
Inutile d'en dire plus, vous l'aurez compris, ce live était un merveille !!

mercredi 1 juillet 2015

Cinéma : beaucoup d'émotion avec Vice Versa !

Ahah, quelle pointe d'humour dans le titre de ce post ! (ou pas... ^^;)
Enfin... vous l'aurez compris, je suis allée voir (avec mes neveux \o/ ) Vice Versa, le dernier Pixar, au cinéma !

Avant de vous en parler, je voudrais faire un petit encart sur le court-métrage qui le précède : Lava.


LAVA raconte l'histoire de Uku, un volcan chantant l'amour, bien que lui-même soit seul...
Sa chanson, le volcan sous-marin Lélé (ahah, vous comprenez maintenant... ! XD) l'entend pourquoi, et elle ne souhaite qu'une chose, rencontrer celui qui chante de cette si belle voix.

Vous l'aurez compris, LAVA est une histoire d'amour chantée (et exclusivement chantée), sur un air de Ukulélé, très poétique. Tout le monde n'y trouvera peut-être pas son compte, mais j'ai trouvé le court-métrage très mignon, et en nous prenant ps les sentiments, un bon choix introductif à Vice Versa !


Vice Versa donc ! Le film met en scène les émotions de Riley, Joie, Tristesse, Dégoût, Peur et Colère, qui gèrent le Quartier Général des émotions et des souvenirs de la jeune fille de 11 ans. Un grand bouleversement dans la vie épanouie et joyeuse de Riley -un déménagement-, ainsi qu'une "dispute" entre Joie et Tristesse, vont tout changer dans cette vie gérée jusqu'à ce jour d'une main de maître par Joie...

Sans trop en dévoiler sur l'intrigue, qui reste pourtant assez simple et accessible, je peux dire que Pixar nous enchantent encore une fois avec un film très émouvant (heureusement pourrait-on dire, au vu du sujet... !). L'élément perturbateur principal de l'intrigue, un déménagement dans une ville à mille lieux du foyer d'origine, permet d'aborder tous types d'émotions (même si celle-ci ne sont pas personnifiées, elles sont présentes à travers les personnages), mais surtout montrer le passage d'un âge à un autre. Riley a 11 ans, c'est une enfant au bord de l'adolescence vivant très mal son déménagement à San Francisco qui, de plus, ne se réalise pas dans des conditions optimales.
Sans qu'elles le réalisent, c'est ce déménagement qui enclenche la dispute entre Joie et Tristesse qui les éjectera du quartier général - <SPOILER>Tristesse ne pouvant s'empêcher de "détraquer les souvenirs" en les rendant tristes - preuve que Riley est en partie elle-même inconsciente de son désarroi</SPOILER> - et les faisant s'aventurer dans l'esprit de Riley.
Cette nouvelle étape de la vie de Riley est remarquablement mise en scène dans la représentation, très allégorique au passage, de l'environnement cervical avec, certes, le Quartier Général, mais également -et surtout-, sa représentation de l'esprit humain, dont les décors sont magnifiques, avec ses "îles de personnalités", le "train de la pensée, le "studio des rêves" ou encore le subconscient où sont enfermées les peurs les plus profondes.

Vice Versa jongle et joue incroyablement bien avec tout cela et se révèle donc un film très émouvant et juste, dans lequel, pour une fois, les adultes s'y retrouveront peut-être plus que les enfants car après tout, on aura plus de facilité à se reconnaître dans les types de situations présentées avec un regard parfois nostalgique ou une sensation - en tout cas - de ressenti ; et c'est là la magie et la force de Pixar :-). Les enfants apprécieront néanmoins le film (preuve en est avec les neveux qui ont a-do-ré, "c'était trop bien !"), mais qui n'auront pas cette deuxième lecture que pourront avoir les adultes.
Bref, allez vite le voir :-D

jeudi 25 juin 2015

Cinéma : Jurassic World

Eh bien, un article ! Ça faisait longtemps !

Je dois avouer que je ne suis pas retournée au cinéma depuis Mad Max... Mais c'est une chose désormais résolue, car je suis enfin allée voir le blockbuster du moment : Jurassic World !

Comme beaucoup de monde, j'ai grandi avec Jurassic Park, et j'étais un peu sceptique sur ce nouveau film parce que le premier est quand même cultissime, qu'il s'agisse des scènes  (la course-poursuite du T-Rex et les Raptors dans la cuisine, et surtout, surtout... mon Wedding Raptor préféré ♥) ou des dialogues ("J'ai dépensé sans compter !", "et la femme hérite de la Terre" !). En revanche, je ne parle pas des deux autres qui ne sont pas aussi... inoubliables ! ¬_¬

impossible d'évoquer Wedding Raptor sans le petit gif qui va bien !

Mais... qu'en est-il de ce nouveau film ?


Personnellement, j'ai bien aimé Jurassic World ! Ce n'est pas Jurassic Park, mais (oh merci !), ce n'est surtout pas Le Monde Perdu et Jurassic Park 3 !
Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard - pour dire les personnages n'ont apparemment (1) pour la plupart même pas une once de background, ahah - et pourtant ça passe, si bien sûr on va voir le film dans l'optique de... VOIR DES DINOSAUUUUUUURRRR(US), grouah !
parce que bon, c'est quand même bien de ça dont il s'agit (et de raviver la petite flamme de notre cœur avec de multiples références au premier film). Pour dire la simplicité du scénario, celui-ci tient en quelques lignes :

Claire Dearing dirige Jurassic World, un parc à thème appartenant à Simon Masrani, construit sur l'île d'Isla Nublar et sur les méandres de Jurassic Park de feu John Hammond. Afin d'attirer toujours plus de monde, le laboratoire crée un dinosaure plus féroce, plus dangereux que n'importe quel autre : l'Indominatus Rex. Soucieux de la sécurité de son parc, Masrani demande à Claire, dont les neveux ont débarqué -au passage- sur l'île, de faire vérifier l'enclos de la bête à Owen Grady, dresseur de vélociraptors. Au cours de ce contrôle, l'Indominatus Rex, doué d'une intelligence peu commune, trompe leur vigilance et s'échappe. Les ennuis commencent... ! (lol lol lol)

En quelques lignes donc, pour le pitch !
La suite, vous vous en doutez, le gros vilain dinosaure crée d'après divers mélanges génétiques détruit, bouffe et tue (pour le plaisir) tout sur son passage. Une grosse vilaine bêbête, et intelligente de surcroit (<SPOILER>au point de savoir ce qu'est une sonde GPS et de la retirer tout seule</SPOILER>, ça c'est la petite blague quand même !).
Heureusement Owen est là, avec son Raptor Squad !


sont-y pas bogoss ?

Ben oui. Les raptors, ce sont mes dinosaures préférés (même si dans la réalité, ils sont plus près d'une dinde féroce niveau taille et poids que de l'animal présenté dans les films mais ce n'est pas grave parce que... c'est un film justement ! *sort-sa-science-parce-qu-elle-collectionnait-les-revues-Dinosaures-quand-elle-était-petite* ). Bref... les raptors, ça déchire !!! (certifié depuis 1993), surtout la Beta, Blue (ceci dit, il n'y en a que pour elle, un peu comme Daenerys avec Drogon... je dis ça je dis rien... ¬_¬ )

Pour conclure, n'allez pas voir ce film en cherchant quelque chose qui prendrait en compte les avancées des recherches scientifiques sur les dinosaures, mais bien comme le digne successeur de Jurassic Park, auquel le film fait des clins d’œil, voire plus (n'ai-je pas dit que Jurassic World était construit sur les cendres du premier parc... ?). Malgré les apparentes faiblesses de scénario (je pense notamment aux deux neveux complètement stéréotypés v_V, ou à l'antagoniste...), il tient ses promesses en termes de dinos, et ça suffit à rendre le film agréable (quelque fois, un film léger, c'est bien aussi !). La fibre nostalgique, c'est un bon atout ! (mais tout de même, ça ne détrône pas JP !).
Si vous voulez passer un bon petit moment, je vous conseille donc vivement Jurassic World !

Et pour réellement conclure, vous aurez peut-être remarqué en début de post le (1)... et donc :


(1) je reviens sur ce que je disais au passage plus haut. Je dis apparemment, car la promo du film repose sur du lobbying sur le net, à l'instar par exemple de Hunger Games. Lorsqu'on fouille un peu, on découvre des choses bien sympa telles que les sites du parc ou de  Masrani Global qui sont très bien pensés (sérieux, ils sont allés pousser la chose jusqu'à faire une page sur le recrutement de personnel avec des formulaires... ! XD) et complètent bien le site, mais je doute que toutes les personnes ayant été voir le film aient visité lesdites pages web ! Allez y faire un tour, si ce n'est pas déjà fait :-D

mercredi 27 mai 2015

Live report : Dir en grey au Bataclan

Woah !! Deux articles dans la même soirée ! Mais que se passe-t-il ?! (mais qu'est-ce qu'il se passe !?!).

Bref ! Le présent article ne peut point attendre, car contrairement aux films, les live reports ça s'écrit à chaud !! (enfin là, à tiède, si l'expression existait :þ).
Hier soir a eu lieu à Paris le concert de Dir en grey, de passage pour leur tournée THE UNSTOPPABLE LIFE.

La première partie, le groupe DAGOBA, a bien chauffé la salle en insinuant une ambiance déjà bien survoltée. Après, je ne peux pas vraiment dire que j'ai apprécié leur prestation, étant donné que je suis arrivée lorsqu'ils terminaient ^^;; (merci les bouchons sur le périph, heureusement que le trajet depuis Orléans s'était fait sans encombre, hm hm...). 
J'entrerai donc directement dans le vif du sujet !

Tout d'abord, la setlist, composée uniquement de morceaux issus de ARCHE, (à l'exception du ENCORE) confirme pour ma part que l'album est vraiment taillé pour le live (mais c'est valable pour tous leurs albums, ceci dit).
Hier soir, le public aura eu droit à :

1.  咀嚼 (soshaku)
2. Chain repulsion
3. Sustain the untruth
4. Un deux
5. 鱗 (uroko)
6. 濤声 (tousei)
7. 輪郭 (rinkaku)
8. 空谷の跫音 (kuukoku no kyouon)
9.  禍夜想 (magayasou)
10. Phenomenon
11. Behind a vacant image
12. Cause of fickleness
13. The inferno
14. Revelation of mankind

ENCORE :
15. THE FINAL
16. 朔 -saku-
17. 激しさと、この胸の中で絡み付いた灼熱の闇 (hageshisa to, kono mune no naka de karamitsuita shakunetsu no yami)

Rien que la vue de cette setlist donne le ton, si j'ose dire ! Beaucoup de bourrin, mais le tout assez tempéré avec des passages plus calmes.
Mais... parlons un peu des membres, pour commencer ! ;-)
Le groupe semblait bien dans l'ambiance de cette soirée, et cela fait plaisir à voir : Kaoru qui se dodelinait dansait au rythme de ses riffs, idem pour Die, et Toshiya qui était totalement survolté (vous montez de plus en plus dans mon estime cher monsieur !)

 impossible de ne pas mettre une photo de Toshiya ♥ (créditphoto : instagram de loloeos7d)


Shinya, lui, est égal à lui-même, confiné au fond derrière sa batterie (on pense à toi quand même) et Kyo... 
...
*attention, avis purement subjectif en approche*
...
Kyo m'impressionne décidément de plus en plus vocalement, le fourbe ! Il est vraiment devenu très, très bon et passe du growl guttural à des falsettos avec une aisance toute naturelle (et sans fausse note... !) ; il envoie du lourd ! Et puis, je ne peux pas parler de lui sans évoquer son magnifique corps et sa sexitude... hem hem, le critère physique :þ (fangirl un jour, comme dirait l'autre...), il faut dire que ce n'est pas de ma faute s'il fait profiter de la vue \o/ (non ! je ne me décharge pas DU TOUT !)... bref, tout ça juste pour dire que j'aime vraiment bien sa coupe (quelle belle crête en banane, j'en suis jalouse) et que je veux bien les mêmes abdos (je fais du sport pourtant... en plus ça aide bien pour les growls !)


Bitch please, look at these abs !(crédits photo : instagram de loloeos7d et mauroparis)

Après ce petit instant de fangirlism, revenons à l'essentiel, le live en lui-même ! 
Tout d'abord, l'atmosphère générale.
Il y avait dans la fosse hier soir une ambiance survoltée, avec un vrai mosh pit qui pogotte (voire plus) et du slam... autant dire pas forcément des choses que j'apprécie (surtout le slam...). Aussi, pour le coup, je n'étais pas mécontente d'être au fond (près du bar, ahah !), à hauteur de scène (pas de tête qui gêne !), et bien en face. Un peu de distance, mais pas trop, car je voyais très bien. Mon seul regret est que, par conséquent, je n'étais pas dans la zone de public qui "vit l'instant" dans le sens où à ce niveau personne ne levait les bras en cadence ou ne chantait quelques passages (c'est triste ça quand même... snif), et ça me démangeait bien par moment, je dois l'avouer !

Niveau chansons, comme indiqué plus haut ARCHE est un très bon album, bien calibré en live. Je n'évoquerai pas toutes les chansons, parce que dans l'ensemble je les aime (quasiment) toutes et qu'elles rendaient toutes très bien hier soir. Aussi, je parlerai de celles qui m'ont le plus plue et/ou marquée, ma préférence allant néanmoins pour les mêmes chansons que la version studio. 
鱗 (uroko) est une véritable tuerie ; c'est déjà un petit bijou -de violence, il faut bien le dire- sur l'album en particulier sur le plan vocal, et c'est bien l'une des chansons où l'on se rend vraiment compte de la maîtrise de Kyo, qui doit quand même bien s'amuser dessus. Shinya doit aussi bien se faire plaisir avec le rythme effréné de la batterie sur ce morceau (que disais-je tout à l'heure, n'oublions pas Shinya... !).
Bien sûr, j'étais plus que ravie d'entendre ENFIN Phenomenon en direct. C'est mon morceau préféré dans ARCHE, et le moins que l'on puisse dire c'est que, si l'on a pas une petite idée du thème de la chanson, l'interprétation et la gestuelle de Kyo hier permettait de mettre les choses au clair tant ça transpirait le bondage (avec le fil du micro, et je peux vous assurer que c'était autrement bien plus sexy que ce que pourrait faire M. Grey, ahah !) et un désir charnel un peu malsain. (et encore une fois, les abdals et les déhanchés, ça aide bien à la mise en scène, n'est-ce pas...). Et puis le côté transcendant du refrain à la fin... à tomber en live.


Petit ajout parce que j'ai trouvé une vidéo sur Youtube de la presta sur Phenomenon ♥♥♥ (merci  Miyuu5 pour cette vidéo !)

J'ai néanmoins peut-être été (peut-être) un peu déçue concernant la prestation sur 濤声 (tousei), que je préfère plus calme, mais c'est peut-être aussi parce que j'aurais tellement préféré avoir droit à 懐春 (kaishun) à la place que mon avis un peu biaisé ! Ceci dit, j'ai l'impression qu'au niveau de l'interprétation de Kyo n'est pas encore tout à fait arrivé à maturité sur la version live de cette chanson, il en a peut-être un peu trop fait pour le coup, même si sa chute (calculée j'entends bien) était assez collector. Et désolée hein, je n'ai rien à dire sur la performance des autres, ils font tout bien aussi :þ rien à redire !
Autre petite déception du soir, c'est l'absence de midwife dans la setlist. Elle est tellement démente, j'aurais bien aimé entendre le rendu sur scène...
En revanche, j'ai également eu une bonne surprise avec The inferno et Revelation of mankind. Il s'agit des deux derniers morceaux sur l'album, mais aussi de ceux que j'aime le moins. Pour tout dire, je ne les écoute quasiment jamais. Mais il faut avouer une chose : en live, ils rendent vraiment TROP BIEN ! Surtout The inferno, avec son petit riff bien sympa sur les 30 dernières secondes qui donne instantanément envie de dodeliner de la tête (comme Kaoru, en somme).
Autre bonne surprise, c'est la présence de 朔 -saku- pendant le encore, ça faisait longtemps ♥

Pour conclure, c'était donc un très bon live, mais de toute façon c'est toujours un vrai plaisir de retrouver Dir en grey sur scène (en bref, objectivité : zéro :þ). Le groupe était égal à lui-même, et les membres avaient l'air assez contents de l'ambiance général et du public. Le concert est passé à une vitesse folle et sitôt commencé, la notion du temps a été toute chamboulée, 5 minutes et c'était fini... (en réalité, c'était 1h30...). 
Au moins, ça prouve à quel point j'ai apprécié, et j'espère avoir l'occasion de les revoir prochainement ! :-D

Cinéma : Mad Max Fury Road

Ça y est ! Je l'ai vu !
Je suis donc allée voir Mad Max Fury Road dimanche dernier  avec des amis (parmi lesquels Muchachoses :3) !

 



Mad Max Fury Road prend donc place sur une terre ravagée, et nous présente une vision post-apocalyptique où l'eau (et les vivres) sont une denrée rare et précieuse.

Max, un homme perturbé par la mort de ses proches recherchant la solitude, se fait enlever et est emmené à la Citadelle dirigée par le cruel Immortan Joe pour servir de Globulard à un War Boy (comprendre par là, sa poche de type O négatif vivante...)...

Il sera entraîné malgré lui dans la fuite de l'Imperator Furiosa, qui a décidé de trahir Immortan Joe et lui a volé son bien le plus précieux...
Bien entendu, l'homme, furieux, va lancer des troupes à leurs poursuites...

Vous l'aurez compris, le scénario ne casse pas trois pattes à un canard !
Ce qui fait la force de Mad MAx Fury Road n'est pas sa profondeur scénaristique ou psychologique, mais bien son action, ses décors et ses gros véhicules... En bref, son esthétique bien particulière !
De nombreuses scènes sont justes époustouflantes dans le choix de plans, mais aussi, pour les scènes d'action, dans la chorégraphie. Sans (trop) spoiler, je dirais entre autre que l'on a quand même le droit à un sacré ballet de perchistes qui vaut le coup ! Une scène m'a également émerveiller esthétiquement, mais la décrire n'apporterait pas grand chose, aussi une photo vaut parfois plus que des mots :



Les nuages d'orage ! j'ai trouvé ça vraiment très beau visuellement :3


Malheureusement, cette déferlante visuelle et esthétique n'est parfois pas suffisante, et aussi beau et rythmé que le film puisse être, il souffre de son scénario si pauvre et stéréotypé.

Je pense qu'il aurait beaucoup gagné à avoir plus de profondeur, surtout qu'avec le background créé sur les personnages, il y avait de quoi faire (je vous invite à un peu de lecture à ce sujet sur le Wiki dédié).
Autre point noir, mais qui ne tient qu'à moi, mais je n'ai pas trouvé Max très convaincant ni très présent (en fait, ça pourrait être plutôt un spin off sur Furiosa non ?!). En fait, je ne l'ai pas trouvé assez taciturne, ahah ! S'il y a une suite, j'espère que Tom Hardy s'appropriera plus le personnage... Ceci dit, tempérons un peu ces propos, mais je pense que la VF y est aussi pour beaucoup (quel doublage horrible, ça me frustre de ne pas avoir eu le choix avec de la VOST... snif).

Pour conclure, Mad Max reste un très bon film, maiiiiiis lorsqu'on voit toutes les louanges qu'il reçoit, on s'attend à quelque chose de tellement exceptionnel qu'au final, les attentes n'étant pas toutes comblées, on est un peu déçu :-(
Reste à le revoir en VOST, ça sera toujours mieux ! (enfin meilleur dans ce cas, parce que le film est tout de même bien !)


mardi 12 mai 2015

Enfin un article ! Petites critiques cinématographiques :3

Eh bien eh bien eh bien !

Cela faisait un petit moment que je n'avais pas posté un petit article !
... Mais tout s'explique !

La semaine dernière et ce week-end, point de séance cinéma, il faut dire que les sorties ciné de la semaine n'étaient pas folichonnes...
Par contre, ça n'excuse en rien mon retard pour l'article sur Avengers : l’Ère d'Ultron, que j'ai vu en avant première :þ
Enfin bon, tout va bien, on va rattraper fissa fissa ce retard :3


L’Ère d'Ultron est dans la lignée du premier Avengers. Après la tentative d'invasion de Loki, les Avengers se sont appliqués à lutter contre HYDRA, détenteurs du sceptre de Loki (entre autres). Le précieux bien retrouvé, Tony Stark se met en tête (ou plutôt, Scarlet Witch l'a aidé à se mettre en tête ¬_¬) de créer une forme d'intelligence artificielle pour le maintien de la paix... et échoue lamentablement, créant plutôt son contraire : Ultron, un être artificiel qui n'apprécie rien de moins que le mal (oui, le mal c'est fun \o/).

Un scénario qui vaut ce qu'il vaut, mais qui remplit son contrat, avec de la castagne, de l'humour - les Avengers sont plus proches désormais et comme on dit, qui aime bien châtie bien, résultant ici à un petit concours de vannes. On a même droit à une petite touche de romance plus ou moins bienvenue selon les cas : <SPOILER> autant Black Widow et Hulk c'est assez drôle et ça pimente un peu, que la famille de Hawkeye... ben on s'en serait bien passé, en fait :þ</SPOILER>. On compte également l'arrivée de deux nouveaux personnages : Quicksilver et Scarlet Witch (perso, j'attends plutôt de les (re)voir dans X-Men mais bon, je n'ai rien contre la représentation qui est faite d'eux ici...).
Bref, sans être le film du siècle, on passe un bon moment devant Avengers: l’Ère d'Ultron ! :-D


Changement complet de registre maintenant, avec le film de Ryan Gosling : Lost River !


Dans une ville américaine quasiment laissée à l'abandon vivent Billy, mère célibataire, et ses deux fils : Bones et Franky.
Alors que Billy va s'enfoncer dans un sombre business afin de subvenir aux besoins de sa famille et garder sa maison, son fils Billy va lui aussi tenter de sauver ses proches de cette ville morte qui, petit à petit, les dévore.

Il est difficile pour moi de donner un avis sur Lost River. En effet, impossible de dire si j'ai aimé ou non ce film. Dans tous les cas, il faut admettre qu'il s'agit là d'un premier long métrage très particulier. La photographie - couleurs, cadrage - est très belle et on sent l'influence des réalisateurs avec lesquelles a travaillé Ryan Gosling, notamment Nicolas Winding Refn, pour qui il a tourné dans Drive et Only God Forgives.
Le scénario un peu particulier, et bien que n'étant pas compliqué il est assez alambiqué avec son lot de personnages fort particuliers. Billy, ses fils et leur voisine sont normaux, mais pour les autres... hmhm... Joker ? ^^; Le rythme du film, très lent et parfois (souvent) mutique contribue également fortement à cette ambiance particulière, vision tenant à la fois du cauchemar que d'une forme un peu magique, mystique d'un paradis perdu. (cf. l'affiche ci-dessus qui traduit bien cette impression).
Le choix des acteurs est en tout cas très judicieux, et pour n'en citer que quelques un, Christina Hendricks est tout à fait crédible dans le rôel de cette mère célibataire désœuvrée, le mutique Iain De Caestecker nous apparait comme l'alter ego du réalisateur (ce n'est pas une critique !), Matt Smith est assez terrifiant et totalement à contre-emploi, ce qui est juste génial (mais où est donc passé le sympathique Eleven ? °o°), et Ben Mendelsohn est, comme Matt Smith, tout à fait antipathique et flippant... Je ne les citerai pas tous mais tous les acteurs font du très bon travail !
En tous cas, je pense que ce film a besoin d'un second visionnage pour être apprécié à sa juste valeur ! Chose que je ferai prochainement, lorsque le premier aura reposé ;-)


Sur ce, je reviendrai prochainement, avec une petite critique de Mad Max : Fury Road (espérons-le !) ! 

dimanche 19 avril 2015

Des Disney à tout va !

Depuis le fail de Diversion (bon, d'un côté je m'attendais à un film bien nul :þ mais j'espèrais qu'il allait au moins être un peu drôle... :-/ ), je ne suis pas allée au cinéma pour moi mais pour ma nièce, avec deux Disney : Clochette et la créature légendaire et Cendrillon.

Verdict.... la pitchou louloute a adoré ! Si je la reprenais mot pour mot, ça donnerait "j'aime trop trop trop !!!". Un enfant satisfait est un enfant heureux :þ
Et moi, me direz-vous, y ai-je trouvé un quelconque intérêt, ou me suis-je lamentablement endormie devant ces films ?
...
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En plus d'avoir le bon goût de ne pas être trop long (1h16), Clochette et la Créature Légendaire n'est pas non plus complètement mièvre ! Au contraire, il nous présente, par le biais de la relation entre la fée des animaux, Noa, et cet animal étrange, un hymne à la tolérance. La bête est par ailleurs très bien animée, et on se dit qu'on aimerait bien, nous aussi, avoir un Grognon chez soi tant les animateurs ont réussi à le rendre très mignon malgré son apparence impressionnante. (enfin là c'est mon côté kiki-qui-aime-les-animaux qui parle...)
Et pour dire, on se surprend même à (presque) verser une petite larme à la fin !
En bref, pas trop long pour un(e) adulte, et parfait pour les petites filles en tous cas :þ je pense que le film honore sa part de marché honorablement ;-)

Et Cendrillon alors... ?!

C'est la grande mode chez Disney, de réadapter leurs grands classiques d'animation en film live, et bien sûr Cendrillon ne risquait pas d'échapper à la règle, avec pour réalisateur Kenneth Brannagh aux commandes !
Eh bien, je ne sais pas comment il fait, si c'est un don ou une malédiction, mais Kenneth Brannagh a cette fabuleuse capacité à rendre une version encore plus niaise et que la version d'origine... et en plus long, tant qu'à faire ! (le film dure 1h46). Ça me rappelle un certain article anglais qui démontait l'acteur-réalisateur, que j'avais étudié à la fac en cours d'écriture (n'est-ce pas Muchachoses ? ;-) )...
Mais revenons à nos moutons !
Le film commence en beauté dans la mièvrerie, nous contant l'enfance heureuse d'Ella (Cendrillon donc), jusqu'aux décès de sa mère puis de son père... et ça ne s'arrange pas par la suite ; Ella est on ne peut plus ingénue, tout comme l'est le prince... D'ailleurs, petite aparté mais en tant que fan du Trône de Fer, je ne peux que rire en voyant que le prince, joué par Richard Madden (Robb Stark), est (sur)nommé *SPOILER* Kit... hin hin hin..."you know nothing Jon Snow Prince Charming"... oups désolée ça m'a échappé :þ */SPOILER*... Bref...
Heureusement, on a Cate Blanchett, excellente en une Lady Tremaine cupide et dévorée par la jalousie. Et puis les décors sont beaux et les costumes, même si la plupart sont très extravagants, sont quand même très beaux pour la plupart, hormis les tenues de Javotte et Anastasie (mais c'est bien sûr volontaire) ! Bon, la scène de la fée a également un petit côté sympa niveau effets spéciaux et son (très) léger rappel du film d'animation (bibbidi bobbidi boo !).
Comme pour les autres adaptations live, j'estime que Disney aurait pu donc s'abstenir cette réalisation... mais, encore une fois, si ça plaît aux enfants, ça reste pour eux un pari gagné !


Et pour moi alors, des films en vue bientôt ?!
En blockbuster, Avengers 2 bien sûr, et puis à voir pour la suite, je suis tentée par Lost River, mais les horaires ne sont pas très adaptés car dans les temps de travail ¬_¬
En attendant, je me régale aussi niveau série, avec la saison 2 de Broadchurch et la saison 5 de Game of Thrones ! :-D

dimanche 5 avril 2015

Cinéma : Diversion

Je l'avais promis, il est là !!! Un article plus léger, sur Diversion !




Le pitch : Nicky, arnaqueur professionnel, forme la belle Jess à son art. Malgré les sentiments qu'il développe pour elle, il met un terme à leur relation. 3 ans plus tard, alors qu'il monte un gros coup, ce cher Nicky voit ses plans chamboulés lorsqu'il s'aperçoit que Jess est dans les parages...

Bref, vous l'aurez compris, Diversion ne possède pas le scénario du siècle :þ
en fait, c'est même très prévisible, et le film comporte pas mal de longueurs. Et si Will Smith est très charmant comme à son habitude (et, pour le public masculin, vous n'êtes certainement pas en reste avec Margot Robbie), eh bien, on s'ennuie...
En fait, j'ai eu une impression d'une sorte d'Ocean's 11 saupoudré enrobé de comédie romantique, et malheureusement... ça ne prend pas ! Le film remplit néanmoins son rôle de passe-temps, et pourrait se regarder un dimanche s'il n'y a rien d'autre de mieux, et encore... (oui, parce qu'on peut quand même toujours occuper son temps autrement, sur un jeu vidéo, une lecture, une promenade... enfin mieux quoi !)
Mais bon, c'était bien tenté quand même... J'imagine qu'il faudra néanmoins encore attendre pour revoir Will Smith (qui décidément ne vieillit pas, c'est pas possible il doit avoir le secret de la fontaine de Jouvence ¬_¬ lui et Keanu Reeves, ahah ! XD) dans un film digne de ce nom...
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(eh, ça fait bizarre une critique négative ! La dernière c'était bien, je pense, celle de It follows :þ)
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Bref, sur ce je vais poursuivre mon visionnage d'Escaflowne, anime de mon cœur !! ♥ (d'ailleurs, dans ma folie de collectionneuse, j'ai enfin trouvé le FAN BOOK de Nobuteru Yuki qui me manquait, j'ai hâte de le recevoir ♥♥♥)