mercredi 24 décembre 2014

Critique cinéma : Paddington et Le Hobbit, la bataille des cinq armées

La semaine dernière, je suis encore allée voir deux films très différents, mais les deux à grand spectacle, au cinéma : Paddington et Le Hobbit, la Bataille des Cinq Armées.
Mes avis seront assez courts cette fois-ci, je m'en excuse par avance ! m(_)m

Commençons par l'ours péruvien !



Paddington, c'est trop mignon tout plein ! Hormis le fait qu'on veut lui faire des calins parce que ce petit ours est vraiment adorable (et qu'on a une irrésistible envie de manger de la marmelade, aussi), on a là un film, certes pour enfants, mais avec un humour bien anglais qui me plaît bien. C'est drôle, ça ne se prend pas la tête, c'est anglais, et les whovians ont même un petit bonus avec la présence de Peter Capaldi :Þ que demander de plus ? (et ceux qui ne sont pas d'accord, je le ferai le regard sévère, attention !)

Bref, tout le monde a compris, j'ai beaucoup aimé Paddington !
Mais qu'en est-il du troisième volet du Hobbit ?





Ah le Hobbit... Le Hobbit... je n'ai qu'un mot qui me vient... non en fait, deux : déception, longueur ! (le premier découlant du second, en fait).
Comme quoi, en faire trop ça n'a pas toujours du bon ! Le film est, en soi, fidèle à ce que l'on pouvait s'attendre en réalité, mais je n'ai pas réussi à me mettre dans le film. 
Ce doit être dû au départ prématuré de Smaug (snif). Eh oui, après tout, je savais bien qu'il allait passer à la casserole (bon hein, ce n'est pas vraiment un spoil, le livre existe depuis longtemps >_<), mais genre, tout de suite dès le début ? Pff, déception ! Mon petit Smaugounet qui est le plus beau avec sa voix de Benedict :-( (enfin je l'ai vu en VF mais quand même...!).  
Bien sûr, d'autres éléments ont joué.
Le plus important est évidemment la durée des batailles. Ça traîne, c'est long, et on a droit à des scènes qui sont tellement énormes que je me suis surprise à pouffer sur le ridicule de la chose (je pense notamment à une certaine scène avec Legolas. Je veux bien admettre que les elfes sont plus agiles et rapides et tout ce qu'on veut mais quand même, il ne faut pas abuser...)
L'autre élément énervant c'est... Thorin, que j'avais juste envie de baffer tout au long du film. Quel personnage énervant...
Après, le film reste un bon spectacle, mais je reste très mitigée, après tout j'ai regardé 2/3 fois ma montre, et ce n'est jamais bon !
Voilà... je crois bien que ce sera mes dernière séances ciné pour 2014..
Si je ne poste rien d'ici là, bonne fête à vous, lecteurs qui passez par là !

mardi 16 décembre 2014

Critique cinéma : Night Call et Hunger Games - La révolte (partie 1)

J'ai pris un peu de retard dans mes critiques ciné !! We week-end, je suis allée voir deux films, très différents dans leur genre !
Le premier, c'est Night Call, de Dan Gilroy et avec Jake Gyllenhaal. 




Je commencerais par un petit commentaire rageux, mais cette tendance qui consiste à remplacer le titre original (ici, Nightcrawler, qui est bien plus significatif) par... un autre titre en anglais (!) m'exaspère. De plus, Night Call me fait systématiquement penser à Kavinsky et à Drive forcément... je me demande si les marketteux se sont dit que ce serait une bonne idée parce que mine de rien, Lou est tout le temps sur la route ! (lolilol ! -_-). Bref...
Night Call met en scène le personnage de Lou Bloom, un homme qui semble vivre en revendant du cuivre et autres métaux semi-précieux volés. Une nuit, il assiste à un accident de voiture et à l'arrivée de pigistes, caméras au poing et prêts à revendre leurs images à la chaîne la plus offrande. Ce spectacle subjugue Lou, qui décide de se mettre, lui aussi, à la recherche d'images fortes.
Night Call est un très, très bon thriller. Le personnage principal est parfaitement antipathique et je l'ai, pour ma part, détesté dès les premières minutes. Cela dit, on ne peut s'empêcher de suivre son histoire, ses manipulations et stratagèmes car il est certes détestable, mais c'est aussi un calculateur froid et intelligent. Le jeu de Jake Gyllenhaal est excellent et retranscrit parfaitement le caractère du personnage. Méconnaissable avec son visage émacié, ses cheveux longs gominés et son regard perçant d'oiseau de proie, il incarne un Lou Bloom sociopathe et effrayant. Ses interactions avec les autres personnages donnent toujours lieu à un rapport de force où il s'en sort victorieux, ou s'arrange toujours pour l'être. Il n'existe pas de demi-mesure pour Loui, qui est prêt à tout pour arriver à ses fins - réussir à devenir incontournable pour les chaînes d'infos -, quitte à mentir, voler et pire encore.
Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler, mais même si le personnage est exécrable, le jeu d'acteur et la mise en scène sont tellement intéressants que je ne peux que conseiller ce film. Il est vraiment très bon même si on le regarde, et qu'on en ressort, avec une profonde impression de dégoût... Mais je vous assure, ça vaut le coup quand même ! ;-)


Dimanche, je suis allée voir le second film, qui n'est autre que Hunger Games : la Révolte (Partie 1) (quand j'avais dit qu'ils étaient totalement différents, ah !).


Que dire... Déjà, une bonne chose, le film respecte bien le livre ! C'est un bien, mais parfois aussi un mal car certains passages comportent des longueurs. Quelques modifications ont été également apportées, notamment *SPOILER* la présence d'Effie dans le district 13 */SPOILER*. Je dois dire que cet élément en particulier me faisait un peu peur, mais finalement, ça passe très bien et ça apporte son petit lot de répliques sympa (quelques échanges avec un autre personnage en particulier, ahah !).
Un petit regret cependant pour ma part, c'est que dans les deux opus précédents, on avait une vue de ce qui se tramait du côté du Président Snow qui était bienvenue, mais qui est ici, un peu moins présente. On se concentre sur Katniss et sur le district 13, c'est normal, mais j'aurais aimé voir un peu plus de la stratégie du Capitol, après tout nous avions eu droit à des supers trailers de propagande avant la sortie du film. C'est un peu dommage qu'il n'y ait pas eu quelque chose de similaire dans le film (et je parle bien de propagande pure, pas des interviews de Peeta ¬_¬).
Autre chose (un peu) ennuyeuse, c'est qu'en découpant le film en 2 parties, on va avoir droit au même effet pervers qu'avec Harry Potter et les Reliques de la Mort : un premier film qui comporte des longueurs, parfois ennuyeux, et un second film dans lequel se concentre toute l'action (et tous les morts)... Je me demande sincèrement si c'est très judicieux (les marketteux diront que oui, très certainement !) mais évidemment, l'année prochaine, j'irai voir la partie 2 !

Je fais un peu court, mais je crois que mon post précédent m'a vidé de mon inspiration :þ
En vérité, c'est surtout que je suis fatiguée car j'ai des journées très chargées et que je n'arrive pas à mettre mes idées par écrit correctement. Les vacances seront plus que bienvenues... mais attention ! Même fatiguée, je ne vais pas chômer niveau cinéma, d'autres séances sont prévues, avec de nouvelles critiques en vue bientôt \o/

lundi 15 décembre 2014

Musique : Dir en grey - ARCHE

Gagatisons un peu ! Car aujourd'hui, je vais évoquer le groupe de mon cœur : Dir en grey ♥
Ceci dit, un peu de fangirlism, ça ne fait pas de mal ;-)
C'est également pour la bonne cause, car en ce mois de Décembre et plus précisément mercredi 10, le groupe a sorti son 9ème album : ARCHE.

Et, première impression à chaud : c'est une petite bombe ! Une petite merveille à laquelle j'accroche immédiatement !

J'avais eu plus de mal avec leur opus précédent, DUM SPIRO SPERO, à sa sortie. Bien qu'il s'agisse aujourd'hui d'un album que j'adore, il est de par sa violence et son aura emprunte de déisme, très difficile d'accès. 
Je ne veux pas dire par là qu'ARCHE est plus accessible, car je ne pense pas que ce soit le cas, mais je suis plus sensible à ce qu'il dégage. Dans l'ensemble, les chansons sont musicalement moins agressives et une part de mysticisme est toujours présente, même si elle semble s'élever à une autre portée. L'impression est surtout celle d'un nouvel univers qui s'ouvre, à l'aspect quelque peu inquiétant mais dans lequel on ne peut s'empêcher de s'engouffrer car il y réside également une forme incandescente de beauté, comme cachée dans un écrin.
Dans un aspect beaucoup moins poétique, la vague de nostalgie japonaise qui me submerge souvent ces derniers temps y est également peut-être pour quelque chose (pas tout à fait sûre, ceci dit ;-) ).

Avant d'entrer dans la le vif du sujet avec un avis plus concis sur l'album, je tiens à mentionner le visuel de ce dernier, puisque le groupe apporte un soin particulier à cet aspect. La pochette se décline en deux versions, mais j'aime beaucoup ce qui s'en dégage (soit, pour moi, une certaine quiétude). Je n'ai pas encore reçu la version "physique" (en espérant qu'elle arrive bientôt ceci dit, et sans frais de douane >_<), mais j'ai hâte de la feuilleter ♥



Les deux versions de la pochettes ! (moi, j'ai celle de gauche!)

 L'album comporte 16 titres :

1. Un deux
2.  咀嚼 (Soshaku)
3. 鱗 (Uroko)
4. Phenomenon
5. Cause of fickleness
6. 頭声 (Tousei)
7. 輪郭 (Rinkaku)
8. Chain repulsion
9. Midwife
10. 禍夜想 (Magayasou)
11. 懐春 (Kaishun)
12. Behind a vacant image
13. Sustain the untruth
14. 空谷の跫音 (Kukoku no Kyouon)
15. The inferno
16. Revelation of mankind

Et comme 16 titres, ce n'est pas suffisant, la version limitée de l'album comporte un CD bonus avec des versions acoustiques, quelques remixes et deux titres supplémentaires : and Zero et てふてふ (Tefu Tefu).

Entrons à présent dans le vif du sujet ! Il s'agit cependant ici non pas d'une critique à proprement parler mais de mon ressenti sur les chansons. Désolée donc si ça semble parfois un peu confus m(_)m. Bref.. Allons-y (Alonso !) !!


 
un petit portrait du groupe quand même pour illustrer avant toute chose !


(et parce que ça risque d'être un avis très long, voici un petit lien vers l'album sur deezer pour illustrer mes propos :þ)

Comme à son habitude, le groupe nous livre un album construit, avec un choix et ordre de chansons réfléchis. L'ensemble est très cohérent dans sa construction, et j'ai l'impression que le groupe s'investit énormément sur ce point depuis les derniers albums. 
Je ne donnerai pas mon avis sur tous les morceaux, car si je les apprécie finalement tous, les raisons de ces appréciations sont souvent sentimentales et par conséquent par réellement construites, je le reconnais ;-) je parlerai donc des morceaux qui m'interpellent le plus.

ARCHE s'ouvre sur Un deux (oui, bon... le titre me fait bien rire, j'avoue !) qui donne immédiatement le ton. Un, deux sons de cloche introduisent une ligne mélodique et un chant très limpide, ponctués de quelques relents métalliques lourds, prémices d'une agressivité sous-jacente, et quelques traces de DUM SPIRO SPERO avec quelques sonorités d'inspiration orientale. (eh oui, je n'ai pas pu m'empêcher une blagounette sur le titre comme vous le voyez, eheheh 乁( ◔ ౪◔)ㄏ ).
Cette dualité marquée de réminiscence définit à mon sens bien ARCHE ; en effet, avec le précédent album, on était presque constamment plongé dans un univers ultra violent alors qu'ici, tout est plus nuancé. C'est agressif, oui, mais ce n'est pas une agressivité constamment faite de sons pesants et portée par une voix rauque et gutturale. Les growls sont par ailleurs finalement assez peu présents si l'on prend en compte l'album dans son intégralité. 
J'ai aussi une impression de légère nostalgie à travers certains titres, tels que Cause of fickleness, titre totalement délirant vocalement qui me fait un peu penser aux compositions que l'on pouvait retrouver dans Vulgar et Withering to death (mais ce n'est peut-être que moi, peut-être est-ce dû au petit rire diabolique dans les premières secondes). Dans tous les cas, Un, deux introduit ces notions parfaitement.
Néanmoins, cet album se distingue aussi, à mon sens, par l'absence d'une ballade "forte"... du moins à la première écoute. ARCHE comporte des chansons douces, 3 plus précisément, mais elles sont différentes de celles qu'on pouvait trouver dans les autres albums en termes de composition, de force, et même de positionnement au sein de l'album... quoique parler de leur force n'est pas tout à fait juste ici... mais elles sont... différentes dans leur genre. On est loin de Ware, Yami Tote ou de VANITAS (ou mushi !) par exemple, qui vous porte dès la première fois. Même si j'ai tout de suite aimé Tousei, Kaishun et Kukoku no Kyouon, j'ai l'impression de n'avoir commencé à les apprécier à leur juste valeur qu'après quelques écoutes seulement, et de découvrir leur puissance graduellement. J'y reviendrai, car je tiens à évoquer un peu plus en détail mes titres préférés (en dehors de Un, deux, donc :þ)

Parmi mes morceaux préférés figurent Uroko, 3ème titre très inspiré et... particulier avec une instrumentation très rapide et  agressive (Shinya, le roi de la batterie, à fond !). Au niveau du chant, on est aussi dans l'agressivité avec les couplets growlés, et on retombe pourtant dans un chant plus doux pendant les ponts, puis dans du mystique, Kyo nous livrant des refrains en falsetto, appuyés par la présence de chœurs en vocalises (en falsetto également) et d'un clavecin (enfin... du synthé). Ces passages créent un effet assez contrasté entre l'agressivité de l'instrumentation et la douceur et clarté du chant. Le tout produit un effet que l'on pourrait qualifier d'étrange mais auquel j'avoue adhérer complètement !

Le 4ème titre est l'un, si ce n'est mon préféré, ballades mises à part. Complètement "barré" lui aussi, Phenomenon est un peu une boîte de Pandore. A la première écoute, elle donne l'impression d'une chanson "3 en 1" avec sa construction que je qualifierai presque "en tiroirs". Elle me fait un peu penser à Rotting Root ou Bugaboo (tiens, réminiscence, nous revoilà !), mais poussée plus loin dans le concept. Le rythme et la mélodie tendent vers un son lourd (hm, cette ligne de basse ♥) et lent ; le chant suit cette cadence, rendant le tout un peu malsain. On sent que Kyo s'est amusé sur le chant avec une montée en puissance, débutant avec un chant calme, nous livrant par la suite des passages avec une voix chevrottante, quelques growls, pour finir en beauté : le chant et l'instrumentation s'allègent, comme dans une délivrance (ou une transcendance)... le morceau porte bien son nom, si je puis dire...

Tousei est le 6ème titre de l'album, et la première ballade qui prend place après le tourbillon délirant qu'est l'enchaînement d'Uroko, Phenomenon et Cause of fickleness... Il s'agit manifestement d'un de mes gros coups de cœur... bon après, j'adore les chansons douces et/ou tristes mais la mélodie, la ligne de chant, les paroles, tout est beau dans Tousei
Cependant, en termes de ballades, entre Tousei et Kaishun, 11ème titre, mon cœur balance. Toutes deux sont très différentes, mais Kaishun a un petit quelque chose qui fait peut-être bien pencher la balance en sa faveur. J'adore la montée en puissance de ce morceau, son envolée lyrique toute naturelle, l'apparente fragilité qui s'en dégage... magnifique !
Je m'arrêterai là, sur mes petites chouchoutes !
En vérité, j'avais écrit bien plus, mais à la relecture ce n'était pas très construit (ahah !), car comme je l'ai dit plus haut, tout ça reste très sentimental pour moi (car déjà, c'est quand même le groupe de mon cœur avec lequel j'ai grandi, huhu :þ et puis les préférences musicales, ça ne s'explique pas toujours, des goûts et des couleurs, dira-t-on !).
Aussi, pour m'auto-féliciter de cet élagage en bon et dû forme, je vous abandonne avec un petit gif de Kyo (et puis bon, c'est une bonne excuse pour terminer ce post de vendue en beauté, ahahah XD)

(je n'adhère pas au look de mamie par contre, sérieusement ce chapeau...ಠ_ಠ et puis j'aimerai bien connaître son secret pour sembler aussi jeune ¬_¬)

mardi 9 décembre 2014

Critique cinéma : Astérix - le Domaine des Dieux

Au départ, j'avais envisagé d'aller voir Paddington ce week-end (parce que bon, il est mignon Paddington quand même !), et puis finalement, je suis allée voir Astérix - le Domaine des Dieux avec Julien !

Je ne savais pas trop quoi attendre de ce nouvel opus d'Astérix, mais la présence d'Alexandre Astier aux commandes était déjà assez rassurante, et les bonnes critiques encourageantes !
Et puis, il faut dire que l'autre point positif, c'est qu'il s'agit d'un film d'animation... Car oui, pour moi sincèrement, à part Astérix : Mission Cléopâtre que j'adore, les autres films live du petit Gaulois... ¬_¬

Mais... ! Passons ! :þ







Bon déjà, je trouve le film très propre visuellement. Certes, ce n'est pas du Pixar ou du Dreamworks (ou autre grand studio américain), mais le style respecte bien les BDs et c'est ce qui compte, à mon avis.
En revanche, je trouve la 3D bien inutile (comme dans 99% des cas, j'ai envie de dire, à part faire payer la place de ciné plus cher et avec l'assurance d'une bonne petite migraine en prime...).
Pour le reste, on retrouve bien l'esprit de la BD, c'est drôle, c'est anachronique, et avec Alexandre Astier, on retrouve des petits clins d’œil à Kaamelot, et autres (*SPOILER* Panoramix en Gandalf quand même c'est assez drôle, entre autre */SPOILER*). Je ne me souviens pas de temps mort, la cadence étant assez soutenu tout au long des 1h20 du film. ça passe donc assez vite, et agréablement !
C'était aussi un plaisir de retrouver Roger Carel, la voix d'Astérix !! (même si, à côté, on verse une petite larme pour son accolyte Pierre Tornade, et que par conséquent la voix d'Obélix semble moisn efficace... moins proche). Les acteurs ont cependant été assez bien trouvé dans l'ensemble et collent bien aux personnages, certains parviennent plutôt bien à se faire oublier d'ailleurs (je n'avais même pas calculé que c'était Laurent Laffite qui interprétait Duplicatha, ahah !).

Je ne saurai pas dire grand chose de plus, si ce n'est que l'on passe un bon moment, et que si on apprécie les BDs ainsi que les films animés de l'époque (car comme je le rappelle, on ne parle pas des films ! sauf Mission Cléopâtre :þ), on aimera sans aucun doute cette adaptation du Domaine des Dieux, qui est un bon film et qui ravira jeunes et moins jeunes !