dimanche 29 mars 2015

Cinéma : Still Alice

Hm, n'avais-je pas dit dans mon dernier article que ma prochaine critique serait certainement celle de Diversion, et donc bien plus légère... ?
J'avoue, j'ai repoussé le visionnage pour un autre film, guère joyeux certes, mais magnifique : Still Alice.
Diversion donc, ce sera pour la semaine prochaine !


Alice Howland, 50 ans, est une docteure en linguistique très reconnue enseignant à l'université de Columbia. Sa vie, aussi bien professionnelle que personnelle, est épanouie. Cependant, Alice s'aperçoit qu'elle oublie certaines choses, des mots, des lieux, ... inquiète, elle consulte un neurologue. Le diagnostic est sans appel : Alice souffre d'une forme précoce, et génétique, de la maladie d'Alzheimer. L'annonce de cette nouvelle impacte toute sa famille : son mari, et ses trois enfants, dont l'aînée est également porteuse du gène...

Still Alice, vous l'aurez compris, est un film bouleversant. Le traitement du sujet, à travers un personnage relativement jeune pour cette maladie et qui plus est fort instruite, permet au spectateur de s'identifier plus facilement dans ce contexte. Et surtout, il accentue le sentiment d'injustice et d'impuissance face à cette dégénérescence. On ne peut qu'être touchés en observant ce personnage perdre peu à peu tout ce qui fait d'elle ce qu'elle est, ou plutôt, ce qu'elle a été. Julianne Moore est incroyablement émouvante dans le rôle de cette femme, qui fait tout pour ne pas se laisser abattre  et lutte pour préserver au maximum sa mémoire, même si elle sait qu'il s'agit là d'un combat vain.
On est bien évidemment touchés par la famille d'Alice également : son mari John (Alec Baldwin) et ses trois enfants, Anna (Kate Bosworth), Tom (Hunter Parrish) et Lydia (Kristen Stewart) qui, malgré leur souffrance, restent de véritables soutiens pour Alice. Si, au travers d'Alice, est souligné la difficulté d'acceptation de la maladie pour un patient lorsqu'il possède encore la majorité de ses capacités cognitives, le regard porté par la famille est également très réaliste et juste : allant de la colère et l'incompréhension à l'impuissance puis à une forme l'acceptation résignée. En d'autres termes, le film démontre en toute sobriété la difficulté qui émane de toute part eu égard à cette maladie qui diffère des autres, et qui modifie le regard des autres - <SPOILER> le personnage d'Alice le souligne par ailleurs fort bien lorsqu'elle révèle à John qu'elle aurait préféré avoir un cancer car les malades sont soutenus, tandis que les personnes atteintes d'Alzheimer sont très souvent dénigrées socialement, isolées.</SPOILER>.

Still Alice est un film à la mise en scène sobre, subtile et loin des préjugés sur un sujet délicat.
Les performances des acteurs sont toutes très justes, en particulier Julianne Moore qui a tout à fait mérité son Oscar tant son jeu est parfait ; et même Kristen Stewart, qui fait preuve d'une palette d'émotions variée ! (bon désolée c'était du bash gratuit... :þ).
Si vous n'avez pas peur de ressortir quelque peu déprimé(e) par un film, ou si vous aimez les films touchants (sans pour autant donner gratuitement dans le larmoyant), je ne peux que vous conseiller Still Alice.
Pour ma part, j'ai appris que le film était tiré d'une nouvelle écrite par Lisa Genova, ce sera à lire à l'occasion !




(et promis, la prochaine critique sera vraiment celle de Diversion, et sera certainement plus drôle >o<)

samedi 21 mars 2015

Cinéma : SELMA et BIG EYES

Hm, le hiatus aura été de courte durée ! 
Mais je me dis qu'après tout, si j'ai un gros ras le bol d'un certain réseau social, un blog ne ressort pas du même statut ; et puis ce serait dommage d'arrêter de poster mes avis sur les sorties cinématographiques, ne serait-ce qu'à titre personnel (bien que l'intérêt d'une carte d'abonnement est qu'on puisse voir beaucoup de films, quelque fois on oublie ce qu'on a vu... :þ).

Bref... !

pour rattraper mon retard, je vous livre mes avis sur 2 films, 2 biopics (décidément, je ne regarde que ça en ce moment... ! Mais en même temps, ça montre la grosse tendance des studios à ne pas trop se mouiller... entre biopics et adaptations de romans, bonjour l'originalité ;-) )


1er biopic, et pas n'importe lequel : SELMA !




Le film relate des événements qui se sont produit dans la ville de Selma, Alabama, entre décembre 1964 et mars 1965, et qui ont contribué à la signature du Voting Rights Acts. Je ne reviendrai pas sur les dits événements à proprement parlé, qui sont bien connus (mais pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus ou se rafraîchir la mémoire, wikipédia est votre ami ;-) ), mais plutôt de leur traitement.
Tout d'abord, Martin Luther King. Il faut dire une chose : David Oleyolo est totalement bluffant ; on sent qu'il préparait ce rôle depuis 7 ans tant il est habité. Diction, posture, physique... il incarne parfaitement le grand homme qu'était King, le montrant à la fois dans sa force d'orateur et de leader pacifiste d'actes de désobéissance civile, mais aussi dans ses faiblesses et ses doutes. A travers son portrait est également brossé celui de l'État américain, de par les relations de King avec le président Johnson, mais aussi à travers le spectre des surveillances (et les tentatives de discréditation) effectuées par la CIA de J. Edgar Hoover apparaissant par divers moyens tout au long du film dont un, très visuel, consistant à rapporter la consignation de faits directement à l'écran.
Le rendu des scènes de violences perpétrées sur les afro-américains est également très réaliste et, si l'on connaît par l'Histoire ces événements, les voir retranscrits à l'écran renforce l'horreur qui découle de ces actes. Et dire que tout cela s'est produit il y a 50 ans seulement... et surtout qu'aujourd'hui, malgré ces avancées, le racisme sous toute ses formes est toujours très présent, on ressort à la fois bouleversé par cette adaptation, mais aussi quelque peu révolté.
Pour conclure, je pense que SELMA est un biopic qui se veut fidèle aux faits et à la personnalité de Martin Luther King et à ce qu'il a su inspirer. C'est un pari réussi pour ce film qui est aussi le premier long-métrage réalisé sur la vie du pasteur et qui, à n'en point douter, rejoindra ma vidéothèque lorsqu'il sortira en bluray/DVD. D'ailleurs, en écrivant ces lignes, je ne peux m'empêcher de penser à mon amie Mucha qui est très touchée par le sujet pour l'avoir beaucoup étudié. Eh bien, je te conseille de voir SELMA dès que tu en auras l'occasion !! ;-)


Le second biopic que j'ai vu, pas plus tard qu'aujourd'hui d'ailleurs, est un tantinet plus léger. Tiré de la vie de couple de Walter et Margaret Keane, il s'agit bien sûr de BIG EYES, réalisé par Tim Burton.

 
Rien de surprenant à voir Burton réaliser ce biopic, lorsqu'on voit les œuvres de Margaret Keane. Il faut savoir par ailleurs que le réalisateur collectionne ses toiles, au style bien particulier.
Si elle est aujourd'hui une artiste reconnue, c'est sous le nom de son mari, Walter, que ses toiles connaîtront tout d'abord le succès dans les années 60. BIG EYES relate de cette époque. (et comme pour SELMA, si vous souhaitez en savoir plus, libre à vous de vous rendre sur wiki =D ).
Sans en dire plus pour ne pas gâcher le plaisir du film, BIG EYES est loin des dernières productions (décevantes) de Burton (brrr, Alice et Dark Shadows, à oublier :-/ ). Ici, place au réalisme en priorité (biopic oblige, et heureusement), avec des acteurs chacun très convaincant dans leur rôle respectif. Il faut dire que Christoph Waltz est toujours parfait :þ (ahah, j'exagère à peine), on sent qu'il prend plaisir à incarner Walter, un homme qui ne vit que d'arnaques et de mensonges. Amy Adams est également parfaite dans le rôle de Margaret Keane, qui se fait littéralement exploitée par son mari.
Le film, même s'il se concentre sur la relation du couple, dénonce également quelque peu le côté très fermé du monde de l'art avec quelques pointes d'ironie (je pense notamment au galeriste), ajoutant une micro pointe d'humour noir qui n'est pas sans déplaire.
En bref, vous l'aurez compris, BIG EYES est un bon cru burtonien ! On n'y croyait plus, mais finalement il l'a fait :þ Même s'il n'atteint pas le niveau de ses chefs d’œuvre, ça reste quand même rassurant :þ (bon je suis un peu méchante, j'avais beaucoup aimé Frankenweenie. Disons que je n'évoque que les films live...).

Sur ce, je m'arrête pour aujourd'hui !
Je pense que d'autres critiques ciné devraient suivre prochainement. Je voulais aller voir The Voices demain, mais après réflexion, ce sera le Printemps du Cinéma, ce qui veut dire du monde, beaucoup de monde (le genre de chose que je préfère éviter, ah !). Du coup, à reporter si possible.
Par contre, une chose est sûre, c'est que je compte livrer une petite critique qui sera, espérons-le, plus légère, avec Diversion (histoire de rigoler un peu, et parce que bon... Will Smith ne fait pas mal aux yeux, huhuhu XD).

En attendant, si vous allez au cinéma ces 3 prochains jours (pas comme moi donc), je vous conseille donc SELMA et Big Eyes :-D

lundi 9 mars 2015

Cinéma : Kingsman et Birdman

Deux films en "Man" mais qui n'ont rien à voir, la semaine a été prolifique...
Il s'agira peut-être des deux dernières critiques avant un bon moment, car j'envisage un petit Hiatus de mon blog, j'ai un peu besoin de prendre mes distances avec toute forme de réseau sociaux...

Bref, ne boudons pas notre plaisir pour autant, et commençons cet article sur un ton léger, avec Kingsman : Services Secrets.


Alors, j'avoue que je ne m'attendais pas à grand chose et la bande-annonce m'avait fait un peu peur,  mais à force d'entendre dire que c'est un film "trop bien !", je me suis dit que finalement, j'allais peut-être le voir...
Et en effet, c'est bien ! Je ne m'attendais pas vraiment à ça, c'est un film très drôle, qui parodie les films d'espionnage. Colin Firth s'en donne à cœur joie, tout comme Samuel L. Jackson, qui incarne le parfait "villain" des films à l'ancienne avec son look... incertain. D'ailleurs, il faut regarder le film en VOST car le vice est poussé jusqu'au bout, le personnage ayant un cheveux sur la langue assez ridicule). Mention spéciale pour deux scènes, l'une <MINI SPOILER>dans une certaine église</MINI SPOILER> ainsi que <MINI SPOILER>la scène d'action finale avec un certain type d'explosions en série ;-) </MINI SPOILER>. 
Une très bonne surprise, qui se déguste  comme du bon pop corn (caramélisé), et qui met de bonne humeur. 
Je conseille vivement !! 


Qu'en est-il de BIRDMAN ?



J'attendais la sortie de BIRDMAN ou (la suprenante vertue de l'ignorance) depuis un bon moment déjà (ça doit dater de cet été). Il faut dire que lorsque j'avais lu que le film serait filmé de façon à faire croire à un seul (long) plan séquence, ça m'a tout de suite vendu du rêve ! Réalisable certes, mais nécessitant une grande technicité, ce type de montage est toujours très intéressant, mais aussi ce qui s'en dégage dans le résultat final.
Dans BIRDMAN, Michael Keaton incarne Riggan Thomson, acteur déchu, principalement connu pour avoir joué le rôle du Superhéros Birdman dans 3 long-métrage. Il tente de relancer sa carrière à Broadway, dans l'adaptation de What We Talk About When We Talk About Love de Raymond Carver,  dont il assure à la fois la mise en scène et le rôle principal. Riggan va rencontrer de nombreux obstacles, quelques jours avant la grande première de sa pièce. Dépassé par les problèmes qu'il rencontre avec sa fille, ses acteurs ou encore son ex-femme, l'ombre de sa gloire passée va également venir le hanter de façon schizophrénique.
à travers son sujet, ses personnages très bien écrits (mention ++ à Michael Keaton bien sûr, mais aussi Edward Norton et Zach Galifianakis qui sont excellents.... mais tous les acteurs et actrices sont très bons !) et sa mise en scène, Alejandro Gonzalez Iñarritu dénonce habilement de nombreux stéréotypes et préjugés, sur Hollywood, mais aussi sur "l'élite" new-yorkaise de Broadway, comme le montre la scène <SPOILER>entre Tabitha et Riggan. Elle, critique, est prête à anéantir tout un travail de longue haleine car elle n'a aucune estime pour Riggan à cause de son passé, le qualifiant non pas d'acteur mais de "célébrité".</SPOILER>.
A l'instar de cette scène, le film regorge de petits clins d’œil et d'effets  de mise en abîme. Si on ne peut s'empêcher, en tant que spectateur, de voir une similitude entre Riggan et Michael Keaton (voulu ? qui sait... !), cette mise en abîme est également présente au sein même du film où la pièce répétée, jouée reflète étrangement la vie de Riggan.
Malgré son ton grinçant et satirique, il ressort également de BIRDMAN une certaine tristesse. Personnellement, j'ai été touchée par, finalement, la solitude de cet homme qui vit dans l'ombre de sa gloire passée et dont les espoirs de renouer avec le succès, de façon plus personnelle, sont toutes annihilées de diverses façons.
Dans tous les cas, je pense qu'il s'agit d'un film qui mérite amplement ses 4 oscars, que je conseille très vivement ! 

dimanche 1 mars 2015

寂しい時は、懐かしさ・・・

Pour une fois, je vais faire une petite exception à la règle en parlant de choses et autres.
En ce moment, je dois dire que je n'ai pas vraiment le moral... enfin ça fait même quelques mois... Je ne vais parler parler de cela ici, mais plutôt de choses qui découlent de cet état. Et parmi celles-ci, nombreuses sont empruntes de nostalgie japonisante, et ça met d'autant plus une claque parce que... fiou, le temps passe vite... :-/ mais comme ce sont des petits trucs que j'adore, et que cette nostalgie m'égaie un peu malgré le moral bas, je vais vous en parler un peu, ahah !

1) Anime !

Si l'expo dont j'ai parlé ici m'a donné envie de revoir tous les films des studios Ghibli (et par là, de faire la collection en version blu-ray... aïe le porte-monnaie...), j'ai depuis quelques temps envie de revoir mon anime préféré de tous les temps : Visions d'Escaflowne ! (Escaflowne, voire Esca, pour les intimes ;-) ).
Cet anime, c'est tout un pan de ma jeune adolescence (rah, les pré-pubères !), mais c'est aussi en grande partie grâce à elle que j'ai commencé à discuter sur le web, et que j'ai fait mes premières conventions pour rencontrer des personnes faisant partie d'un groupe d'"Escafans" IRL . Ah... la grande époque de ICQ et des groupes yahoo... !
En tout cas, l'anime n'a rien perdu de sa superbe, et j'adore toujours l'histoire qui, si de prime abord semble un peu shoujo-nyanyan de base saupoudré d'heroic fantasy, s'avère bien plus recherchée qu'il n'y paraît, avec des personnages très bien construits et le traitement de sujets assez graves. (même si je suis persuadée que j'aurai envie de claquer Hitomi -et Allen aussi tiens- lorsque je les revisionnerai ! XD).

http://img.photobucket.com/albums/v214/erueru/blog/escaflowne53.jpg
 Look at these noses !

Le film n'est pas mal mais n'arrive pas à la cheville de l'anime, même si les dessins sont plus fins (l'anime étant célèbre pour ses nez démesurés ; mais on s'y habitue, et puis quand Nobuteru Yuuki est au chara-design c'est incriticable :þ).

http://img.photobucket.com/albums/v214/erueru/blog/Escaflowne.jpg 
Nobuteru Yuuki avait tout de même fait des artworks dans son style habituel pour une sortie anniversaire collector de la série... trop beau *_*

L'anime, ainsi que le film, bénéficient également d'une OST superbement épique, composée par Yoko Kanno et Hajime Mizoguchi.
Histoire d'illustrer mes propos, voici une petite OST avec mes morceaux préférés :


J'en ai versé des torrents de larmes à l'écoute d'Arcadia et The Story of Escaflowne (entre autres). Et Blaze (Take 2) est tellement épique... !
Bref... Pour ceux et/ou celles qui ne connaîtraient pas la série, je ne peux QUE vous la conseiller (très vivement) !!

 
2) Musique !

Comme chez moi, nostalgie rime particulièrement avec Japon, j'ai un retour en force d'écoute de jrock en ce moment. Je réécoute avec plaisir Miyavi, j'ai même osé ressortir Mars de Gackt des placards (en ce qui concerne Gackt d'ailleurs, je vous conseille de chercher "Gackt commercials" sur youtube pour vous taper des barres... ¬_¬), mais bon, surtout, je réécoute pas mal Dir en grey (you don't sayyyyy). Alors, croyez-le ou non, je n'écoutais quasiment plus ces derniers temps à part lors de moments de nostalgie furtifs, mais je suivais toujours leur activité, et puis les dernières sorties me plaisent beaucoup... ! En outre, et c'est particulièrement vrai maintenant (-_-), je m'identifie beaucoup à certaines chansons. Car c'est un fait (et je ne dis pas ça parce que j'adore ce groupe), mais les chansons sont très bien écrites, même si les thèmes sont rarement joyeux (même, pas joyeux du tout, en fait). Je vais donner deux exemples avec des bonnes traductions (yoohoo ! C'est dur à trouver sur youtube...), et comme je sais que ce groupe n'est pas pour toutes les oreilles, vous pouvez juste lire la traduction si ça vous intéresse, ou passer votre tour et scroller plus bas... !






Pour la seconde chanson (dont la version de la vidéo date de 2003, ugh !), j'avais eu la chance de l'entendre en live en avril 2007, live qui avait été en partie enregistré pour un bonus d'un DVD. Et lorsque je revisionne, je repense beaucoup à des moments de l'année 2006-2007 à Utsunomiya, mais pas que. 
On pourrait dire que je suis quelqu'un qui se réfugie beaucoup dans la musique, et malgré la cacophonie qui ressort de leurs morceaux violents (*une petite pensée pour ceux qui subissent parfois*), ce sont ce genre de chansons plus douces, mais aussi énormément leurs paroles et leur interprétation qui font que Dir en grey est le groupe de mon petit kokoro ♥.


3) Souvenirs !

Dernière chose, mais non des moindres, je me surprends à ressortir des photos des archives (du Japon ou non), mais aussi à relire mon carnet à live-reports, mes classeurs-souvenirs à dessins, mes classeurs de voyage et à billets de concerts et autres joyeusetés culturelles et... le carnet à purikura !

Et je dois avouer que parfois, même si ça me met la larme à l’œil, on retrouve des petits trucs collectors bien sympas... Voici un (très) petit florilège...


   

celle-ci, je la dédicace à mon amie Mucha

Et sur ce, c'est la fin de ce post *include sad BG music here*.
En espérant ne pas vous avoir trop déprimé, je reviendrai bientôt avec de nouvelles critiques ciné !